Des organes de la presse internationale, y compris la presse d’Amérique Latine dont des médias argentins ont mis en avant le cuisant «échec des croisades continues menées par l’Algérie contre le Maroc et contre sa souveraineté nationale que personne n’apprécie», et ce malgré la mobilisation de son appareil diplomatique et ses pétrodollars.
Ils dénoncent aussi le recours des dirigeants et médias algériens aux «fake news» pour détourner les regards sur les graves crises internes du pays et le soutien croissant de l’Afrique aux positions légitimes du Royaume.
Ainsi, l’agence de presse «Alternative Press Agency» relève dans une dépêche, «la sale campagne de désinformation, avec falsification de documents» relayée par le régime kaki-vert algérien sur les réseaux sociaux, laquelle campagne «suscite inquiétude et rejet dans le monde».
Le média argentin explique que l’Algérie a tenté de minimiser la portée des recommandations du séminaire international tenu le samedi 16 octobre à Dar Es-Salam en Tanzanie, et qui ont constitué «un sérieux revers pour la diplomatie algérienne».
Dans leurs recommandations, ces séminaristes ont appelé à l’expulsion de la chimérique république sahraouie «rasd» de l’Union Africaine (UA) afin, disent-ils, de corriger une «injustice historique» et permettre à l’organisation panafricaine de retrouver son prestige et sa crédibilité.
Les «fake news» du régime algérien relayées par son agence de presse officielle «APS», ont obligé le président de la «Tanzania Peace Foundation», M. Sadiki Godigodi, à «dénoncer la manipulation de la résolution finale du séminaire organisé à Dar Es-Salam et la falsification de sa signature et du logo de la Fondation» sur des documents apocryphes, diffusés ensuite sur les réseaux sociaux et par les médias algériens.
Et l’agence «Alternative Press Agency» de rappeler que «la falsification de la réalité, les exagérations et les mensonges sont des procédés auxquels l’Algérie et ses subordonnés du polisario recourent habituellement».
De leur côté, les médias argentins «Eldesafio semanario» «Voces del Parlasur», «Agencialegislativa» et «Eltribunorosarino» ont consacré de longs articles à l’implication de l’Algérie dans le différend autour du Sahara marocain, par son recours aux tous les moyens «diplomatiques, juridiques, financiers et militaires depuis la genèse de ce conflit régional».
Ils font enfin l’écho du dernier rapport du secrétaire général de l’ONU, Antonio Gutteres qui pointe du doigt «la responsabilité de l’Algérie et du polisario dans l’instabilité de la région et le blocage du processus de paix».