Amnesty international (AI) est épinglée à l’instar de Human Rights Watch, pour leurs rapports partiels et souvent subjectifs comme celui qu’AI a publié le jeudi 4 août sur la guerre en Ukraine, et qui reproche aux forces armées de ce pays de mettre en danger la vie des civils en installant des infrastructures militaires dans des zones habitées qui sont ensuite bombardées par l’armée russe.
Le rapport d’Amnesty a non seulement suscité la colère des autorités ukrainiennes, dont le président Volodymyr Zelensky a accusé l’ONG de «tenter d’amnistier l’État terroriste» en mettant «la victime et l’agresseur d’une certaine manière sur un pied d’égalité», mais il a également entraîné la démission de la responsable d’Amnesty international en Ukraine, Oksana Pokaltchouk qui s’est déclarée indignée par le contenu de ce rapport.
Pokaltchouk est allée même jusqu’à déclarer dans un communiqué sur sa page Facebook, que ledit rapport s’est avéré «un outil de propagande russe», avant d’annoncer sa démission de son poste ce samedi 6 août.
«Si vous ne vivez pas dans un pays envahi par des occupants qui le morcellent, vous ne comprenez probablement pas ce que c’est de condamner une armée de défenseurs», a ajouté la responsable d’Amnesty en Ukraine, précisant avoir «tenté en vain, de convaincre la direction d’Amnesty International que le rapport était partiel et ne prenait pas en compte le point de vue du ministère ukrainien de la Défense».
Les directions de certaines ONG internationales comme Amnesty International et Human Rights Watch (HRW), qui se sont transformées en des fonds de commerce pour subtiliser de l’argent à des Etats souverains, n’ont font qu’à leur tête en voulant toujours imposer leur vision des choses loin de la réalité.
Pour rappel, l’ONG HRW a pris tout récemment pour cible le Maroc, dans l’un de ses rapports étriqués publié fin juillet et dont l’intitulé «D’une manière ou d’une autre, ils t’auront : Manuel des techniques de répression au Maroc» en dit long sur le vrai visage de cette ONG qui mène une campagne hostile et systématique contre le Maroc, sans apporter de moindres arguments objectifs et convaincants sur la prétendue répression des opposants dont elle ne cite qu’une dizaine de cas «maltraités» dans un rapport de 143 pages.