Le Système des Nations Unies (SNU) et le Togo poursuivent leurs travaux d’identification des indicateurs du nouveau Cadre de coopération pour le développement durable 2023-2026.
Après un conclave tenu en juillet dernier, une nouvelle rencontre a eu lieu mardi 27 septembre à Lomé, entre, d’une part, les représentants du SNU-Togo et, d’autre part, des membres du gouvernement et des acteurs de la société civile du Togo.
Sur Twitter, le SNU-Togo a indiqué que cette réunion est «une occasion pour promouvoir davantage l’inclusion sociale à travers des indicateurs ciblant la condition spécifique des personnes à risque d’être laissées pour compte. Une opportunité pour discuter des indicateurs globaux à retenir pour le rapport annuel à ECOSOC».
Le Conseil économique et social des Nations unies (ECOSOC), placé au cœur même du système des Nations Unies, promeut les trois dimensions (économique, sociale et environnementale) du développement durable. C’est le lieu central à partir duquel des débats s’engagent, des idées nouvelles émergent, des consensus se forgent autour des voies à suivre pour poursuivre les objectifs arrêtés au niveau international, note le site de l’ONU.
Le nouveau cadre de partenariat devrait, entre autres, permettre aux interventions du SNU de s’aligner sur la feuille de route gouvernementale 2020-2025 qui entend promouvoir la consolidation de l’Etat, l’inclusion sociale (avec un accent particulier sur les populations les plus vulnérables), la paix, la création d’emplois et la croissance économique.
Le Cadre de coopération pour la période 2019-2023 signé par les deux parties en décembre 2019, avait mis en avant quatre domaines prioritaires, notamment contribuer à améliorer l’employabilité et le potentiel entrepreneurial des femmes et des jeunes ; renforcer les capacités des populations et leur faciliter l’accès à un cadre de vie décent ; améliorer l’accès équitable des populations aux services sociaux de base de qualité et contribuer au renforcement des institutions publiques.