Les Algériens qui ont eu droit ces derniers jours, à trois mauvaises nouvelles, pointent du doigt sans le clamer ouvertement, la malédiction du duo Tebboune-Chengriha qui s’a bat sur leur pays et leur vie quotidienne.
La candidature de l’Algérie à trois institutions différentes a été rejetée à cause de la mauvaise gestion du pays par l’actuel président Abdelmadjid Tebboune qui n’agit que sous les ordres du vieux Chef de l’armée, Said Chengriha et de ses lieutenants qui l’ont installé au palais El Mouradia et lui dictent la conduite à suivre dans tous les domaines politique, diplomatique, économique et financier et même dans le secteur du sport.
Sous la direction de ce duo maléfique, l’Algérie s’est fait partout des ennemis à commencer par l’Espagne et la France et surtout son voisin marocain, dont la frontière commune est fermée depuis 1994 et les rapports diplomatiques et les échanges commerciaux sont quasiment gelés par Alger.
La candidature d’adhésion de l’Algérie au groupe des BRCS qui n’était en réalité, que de la poudre aux yeux pour mieux duper le peuple algérien, a été rejetée bien avant la tenue en août prochain du Sommet en Afrique du Sud. L’Inde et le Brésil membres des BRICS aux côtés de la Chine, de la Russie et de l’Afrique du Sud, ont retenu plusieurs points de faiblesses dont pâtit l’Algérie, son régime et son économie.
A part ses propagandes et ses mensonges pour endormir son peuple, l’Algérie n’a rien à offrir aux BRICS ni dans le domaine industriel, militaire, économique ou financier, estiment les deux pays membres. Avec un PIB de seulement 163 milliards dollars usd et de 3.500 dollars par habitant, le tout indexé exclusivement sur les recettes pétrolières et gazières, l’Algérie ne peut pas pour le moment espérer s’asseoir à la même table des 5 mastodontes des BRICS.
La candidature de l’Algérie a été rejetée d’avance pour plusieurs autres failles de poids relevées par le groupe des BRICS qui a en revanche retenu celles de l’Arabie saoudite, des Émirats arabes unis, de l’Égypte, de l’Indonésie et de l’Argentine, dont les candidatures seront confirmés au sommet de Cape Town en Afrique du Sud.
Ce camouflet vient s’ajouter à celui infligé à l’Algérie par la Confédération africaine de football (CAF) qui a rejeté ce 13 juillet à Abidjan (Côte d’Ivoire), la candidature du vice-président de la Fédération algérienne de football (FAF), Ould Zmirli qui postulait pour le poste de membre du Comité exécutif de la CAF pour la Zone Afrique du Nord (UNAF), mais n’a obtenu au vote que 15 voix contre 38 voix pour son rival, le président de la Fédération libyenne de football (FLF), Abdelhakim Al-Shalmani.
Enfin, l’Algérie a essuyé un troisième retentissant revers suite à son exclusion du projet d’infrastructure de transport d’hydrogène à l’échelle européenne. Dans sa nouvelle version dévoilée cette semaine, l’initiative European Hydrogen Backbone (EHB) ne mentionne en effet, aucune liaison avec l’Algérie à travers son gazoduc Medgaz, contrairement aux précédentes versions.
En revanche, l’initiative EHB confirme l’intention de renforcer la connectivité avec le Maroc, la France et l’Italieet pour le cas du Maroc, son Gazoduc Maghreb-Europe (GME), est retenu pour acheminer en plus du gaz naturel, de l’hydrogène vert d’ici 2040 vers le centre de l’Europe via l’Espagne.
En privilégiant la connexion du GME, l’Europe conforte les choix stratégiques opérés par le Royaume du Maroc qui conforte ainsi sa position en tant qu’acteur clé des réseaux de transport d’hydrogène vers dans la région méditerranéenne.