Le Ghana rompe ses relations diplomatiques avec la pseudo-«RASD»

L’Etat de la République du Ghana a décidé de suspendre ses relations diplomatiques avec la chimérique république sahraouie «RASD» au grand dam du front séparatiste «Polisario» et de ses parrains et sponsors algériens.

Cette décision a été communiquée dans un document officiel du ministère ghanéen des Affaires étrangères et de l’Intégration régionale adressé au ministère marocain des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger.

La République du Ghana «a décidé d’informer immédiatement, à travers les canaux diplomatiques, le Gouvernement du Royaume du Maroc, l’Union Africaine et l’Organisation des Nations Unies, de cette position». Dans le même document, le gouvernement Ghanéen exprime son appui aux «efforts de bonne foi déployés par le Royaume du Maroc afin de parvenir à une solution acceptée par toutes les parties» au conflit artificiel autour du Sahara marocain.

Pour rappel, la République du Ghana avait reconnu la pseudo-«RASD» en 1979 à l’époque où la guerre froide entre les blocs de l’Est et de l’Ouest battait son plein et dont ont profité les régimes algérien de Houari Boumediene et libyen de Mouammar Kadhafi pour créer de toutes pièces en 1976, cette entité fantoche surnommée la «RASD» dans le seul but de mettre les battons dans les roues de la monarchie alaouite.

Mais à présent, grâce à la forte impulsion donnée à la question du Sahara marocain par le Roi Mohammed VI, 46 pays, dont 13 africains, ont rompu ou suspendu leurs relations diplomatiques avec la pseudo-«RASD» depuis 2000 et le nombre de pays membres de l’ONU n’ayant jamais reconnu cette entité s’élève à 113. D’ailleurs cette entité fantoche n’a jamais été reconnue en tant qu’Etat souverain par l’Organisation des Nations Unies qui n’a pas non plus accordé à aucun moment, le statut de mouvement de libération au front Polisario.

Pour l’instant, les mercenaires du Polisario trouvent refuge seulement au sein de l’Union Africaine grâce au soutien inconditionnel de certains régimes et à leur tête ceux de l’Algérie qui nourrit des ambitions hégémoniques et de l’Afrique du Sud qui ménage le régime vert-kaki algérien pour des considération géostratégiques et économiques.