L’Organisation islamique pour l’éducation, la science et la Culture (ICESCO) va clore ce mercredi 26 février, les travaux de la 45e session de son Conseil exécutif à Tunis qui se sont focalisé sur les nouvelles sources de financement non-conventionnelles et innovantes, au-delà des contributions des Etats membres.
En recevant mardi au Palais présidentiel de Carthage le Directeur Général de l’organisation islamique, Salim al-Malik en compagnie de sa délégation, le président tunisien, Kaïs Saïed, les efforts de l’ICESCO dans la promotion de la Culture dans toute la région qu’elle couvre et le développement des programmes d’éducation, d’enseignement et d’approbation des Sciences. Des propos tenus à.
Saïed a insisté par ailleurs sur la nécessité pour l’ICESCO de «préserver le patrimoine culturel et l’immense héritage civilisationnel de la nation arabo-musulmane, et de protéger son identité.
Il a également réclamé davantage d’efforts pour la restitution des pièces archéologiques volées» dans la zone géographique couverte par cette Organisation islamique.
L’ICESCO qui a été fondée en 1979 à Rabat (Maroc), compte à ce jours, 53 Etats membres et promeut la coopération et l’échange d’expériences entre ses membres dans les domaines de l’Education, de la Culture, des Sciences et de la Communication.